Dans le cadre de la série « L’homme à la valise », avec cette image je voulais une belle ambiance de tombée de la nuit.
C’est bien connu, les galères, ça arrive souvent la nuit!
Avec l’équipe des « barjots de l’image » (Eric Maschio-Esposito et Jacks Pixels), nous avons configuré un éclairage finalement assez technique et ça fonctionne plutôt pas mal!
DONNÉES TECHNIQUES
Pour ceux que les données techniques intéressent, cet éclairage a été réalisé à l’aide de 3 flashes Nikon SB 900 simplement déclenchés par le flash intégré au boîtier en mode « contrôleur ».
La lumière de la lampe d’atelier à LED (plutôt poussive) a été renforcée par un flash équipé d’une gélatine bleue, positionné sous la voiture et réglé à 1/32e de puissance.
La lumière du réverbère situé au-dessus de l’homme à la valise a été, elle aussi, renforcée par un flash (sur un pied girafe) équipé d’une gélatine orange et d’un « nid d’abeille » et réglé à 1/20e de puissance.
Enfin la scène générale est éclairée par le 3e flash équipé d’une boîte à lumière (caché par la voiture du premier plan) et réglé à 1/8e de puissance.
Comme les réglages du boîtier permettent de commander seulement 2 puissances différentes de flashes, le flash caché sous la voiture fonctionne en mode manuel et en position SU4.
Il s’agit là d’une forme d’archéologie de la mémoire:
Un homme, plus très jeune, se penche sur son passé et parcourt les souvenirs les plus marquants de son histoire. Un voyage dans le temps à l’issue incertaine dont il n’est plus que le spectateur…